L’acquisition de données à une fine échelle spatiale est primordiale pour concevoir des modèles fiables concernant l’évolution de nos écosystèmes. Nos systèmes naturels d’intérêt sont ainsi de plus en plus instrumentés et monitorés à haute fréquence spatio-temporelle. Des données sont ainsi régulièrement générées, de plus en plus nombreuses et variées, et représentent de forts enjeux de connaissance et de gestion de nos écosystèmes aquatiques. Ces données peuvent concerner tous les acteurs, scientifiques, gestionnaires, experts et décideurs, y compris les citoyens. Hors, actuellement beaucoup de données ne sont pas bancarisées et accessibles de tous. La constitution d’une base de données sur l’eau ouverte et conforme au principe FAIR et l’exploitation de ses données, de nature très différente et obtenues à une rythmicité temporelle variable, représente un réel enjeu localement mais aussi à l’échelle nationale.

Les réflexions abordées dans cet axe transversal concerneront :

  1. L’identification des sites instrumentés existants/ou de nouveaux sites d’intérêt à instrumenter à l’échelle clermontoise et le renforcement/mutualisation de leur monitoring ;
  2. La collecte des données, leur qualité, stockage et mutualisation ;
  3. L’exploitation de ces données et le développement d’outils d’aide à la décision.